🗳️ L’union de la peur : Républicains, Macronistes, Socialistes… même combat ?
Face à la perspective de nouvelles élections, les élus républicains, macronistes et socialistes multiplient les alliances improbables, les renoncements et les compromissions pour préserver leurs mandats.
À Joinville, l’exemple est frappant : le maire sortant, soutien indéfectible de Nicolas Lacroix — président du conseil départemental et éternel prétendant à un mandat national — n’hésite pas à fusionner avec des communistes pour les municipales. 🤝
Devant cette tambouille électorale, difficile de ne pas penser à la figure du Général de Gaulle, qui repose à Colombey-les-Deux-Églises… et qui aurait sans doute froncé les sourcils devant de telles manœuvres.
🚫 Tout sauf des élections ?
La peur du verdict populaire ouvre la voie à la médiocrité.
Les Haut-Marnais lucides l’ont bien compris : lors des législatives, ils ont sanctionné l’alliance des Républicains avec les macronistes. Ce n’était pas une première. En 2005 déjà, lors du référendum sur la Constitution européenne, 58,2 % des électeurs du département avaient voté NON, défiant les consignes de l’UMP et du PS. 🗯️
Ce vote massif, ignoré puis effacé par les élites, révélait une fracture profonde : les élus ne supportaient plus les aspirations du peuple. Et pourtant, ils continuaient à se revendiquer de l’héritage gaulliste… 😔
🎭 L’ère des bonimenteurs
Depuis, l’UMP devenue « Les Républicains » semble n’avoir qu’un seul cap : la carrière.
Les convictions ? Reléguées au placard. Les alliances contre-nature ? Acceptées sans sourciller. Nicolas Sarkozy, élu sur une ligne de droite dure, nommait des ministres socialistes.
Hier, Bruno Retailleau tentait le même tour de passe-passe en acceptant un poste ministériel sous Macron, créature politique de Hollande.
Et pendant ce temps, les citoyens constatent :
- 📉 L’inaction face à la délinquance et à l’immigration illégale.
- 💸 Le sacrifice du pouvoir d’achat sur l’autel de la mondialisation.
- 🏚️ Le déclin du département et de la nation.
😤 L’arrogance persiste malgré les défaites
Deux défaites cuisantes n’ont pas entamé l’arrogance des Républicains haut-marnais.
François Cornut-Gentille, chef de file local, déclarait récemment dans le Journal de la Haute-Marne :
« Les Français votent Rassemblement National à reculons »
Une affirmation étonnante, quand on se souvient de sa propre défaite nette face à Laurence Robert-Dehault (RN), et du score famélique de Nicolas Lacroix (14 %),
balayé dès le premier tour.
Si les électeurs votent « à reculons », pourquoi craindre un nouveau passage aux urnes ?
🦫 Une coalition de castors ?
Républicains, Macronistes, Socialistes : une nouvelle alliance est née.
Pas vraiment une surprise pour les Français, qui surnomment ces partis « les castors », leur programme commun se résumant à un seul mot d’ordre :
« Faire barrage au RN » 🚧
Mais les amoureux de la nature le savent : chez les castors, le barrage est la première étape avant la construction du foyer… où l’on fonde une nouvelle famille. 😉

📌 Conclusion
En tant que citoyen, nul ne peut contester la légitimité des élus issus des urnes.
Mais face à cette coalition improbable, le journal citoyen observe avec attention et une pointe d’humour l’avenir de cette alliance. Peut-être faudra-t-il bientôt l’appeler :
« En marche les Castors » 🐾
Nous vivons une époque formidable
Le Citoyen