Le procureur de Chaumont dans le JHM fait peur aux non vaccinés ?

Tous nos articles se terminent par : « Nous vivons une époque formidable », mais là je dois dire que c’est plus que jamais d’actualité ! La lecture samedi 11 décembre du JHM nous a laissés sans voix !
En page 2, découvrir en titre « la saison des cambriolages » ce qui est parfaitement juste…
En page 3, « Chaumont une commerçante victime d’une agression et d’un vol ».
Quelle surprise de découvrir à la page suivante, une intervention du procureur de Chaumont sur quel sujet ?
Les infractions des non vaccinés au pass sanitaire une dizaine d’affaires !

Justice débordée ! Vous plaisantez j’espère ?

Ma petite fille par alliance, attend depuis 5 ans le procès du garagiste escroc qui a usurpé une identité pour lui vendre un véhicule qu’elle n’a jamais pu faire immatriculer !
Son dossier ne devrait-il pas aboutir, puisque les acteurs de cette même justice, ont le temps de s’exprimer dans les journaux ? 
Ce garagiste peut trembler, face à un procureur qui menace du glaive de la justice, ceux qui terrorisent la nation parce que « non vaccinés » et qui franchirait la ligne blanche pour vivre comme les autres ?

Comme le dit avec humour le virus :

« Désolé je ne fais pas peur aux voyous, aux cambrioleurs, aux agresseurs aux passeurs et trafiquants de tous poils ».

Pauvre virus, j’ai bien peur que tu ne sois pas le seul.

Prenons le parti d’en rire en attendant la reconquête d’une justice rapide.

Comme disait le bon sens des anciens « il faut battre le fer tant qu’il est chaud ».

Il faut croire que « les voies de la justice sont impénétrables » dans la priorité accordée aux affaires ?

Qu’en pense une jeune fille de 19 ans qui voit sa première paie s’envoler, pour une voiture
qui pourrit depuis cinq ans dans un jardin que je connais bien puisque c’est le mien !

Oui, qu’en pense cette jeunesse invisible, honnête, travailleuse et silencieuse ?

Je n’ai pas la réponse.

Se pourrait-il qu’un jour prochain, sa réponse jaillisse des urnes ?

Affaire à suivre …

Nous vivons une époque formidable

Le Citoyen