Le Journal Citoyen de Haute-Marne

Le train de vie du président français tout comme « La parodie de la Cène lors de la cérémonie d'ouverture des JO 2024 » sèment le trouble en France et à l'étranger ...

Lors de la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques de Paris, une scène a provoqué une vive polémique. Inspirée du célèbre tableau de Léonard de Vinci, la mise en scène plaçait au centre la DJ Leslie Barbara Butch, auréolée d'or, entourée de drag-queens attablés comme les douze apôtres de Jésus.

 Cette représentation a choqué des millions de téléspectateurs dans le pays et dans le monde, notamment parmi les chrétiens, entraînant d’ailleurs des critiques de la part des évêques de France, soutenu par les représentants des autres religions.

Les organisateurs de Paris 2024 se sont excusés, affirmant que leur intention n’était pas de manquer de respect envers un groupe religieux. Ils ont souligné que leur objectif était de montrer de la tolérance et de la communion.
Malgré ces explications, la controverse persiste, et la scène de la Cène reste l'un des moments les plus commentés sur les réseaux sociaux.

 Des coûts exorbitants pour « le pharaon élyséen »

Parmi les questions légitimes que les citoyens contribuables se posent figure les coûts réels de cette cérémonie :

Selon les informations qui circulent, la facture devrait être d’environ 122 millions d'euros. Cependant, ce montant ne prend pas en compte les dépenses liées à la sécurité pour sécuriser les 13 km de berges et les bateaux que les délégations ont visités.

Dans le détail, si Thomas Jolly a été nommé directeur artistique des cérémonies, les détails spécifiques de sa rémunération n'ont pas été divulgués dans les médias.
Seuls « des bruits circulent sur les réseaux sociaux… avançant une somme d’environ 400 000 € ? »

La chose dont tout le monde peut être assuré, c'est que ces sommes viendront enfler la dette abyssale du pays. C'est dans notre poche que l’état profond plongera une fois de plus, afin de satisfaire l’égo démesuré et jamais rassasié du président Macron.

Macron, un train de vie de Pharaon ?

Récemment épinglé par la « Cour des comptes » pour l'explosion de son budget réceptions. En 2023, pas moins de 171 réceptions ont eu lieu dans les salons discrets et les salles à manger grandioses de l’Élysée, soit bien plus que l'année précédente.
Les dépenses par invité ont également augmenté, faisant grimper le budget total.

Par ailleurs, les frais de déplacement du président et de ses collaborateurs ont pareillement contribué à ce déséquilibre budgétaire.

Avec un déficit de 8,3 millions d'euros en 2023, « le train de vie pharaonique de l’Élysée » est sous le feu des critiques.

 Sans omettre les dépenses directes imputables aux activités de « Brigitte Macron » qui se sont élevées à 309 484 € en 2023 !

Il est important de souligner que ces dépenses excluent les charges partagées avec le président, telles que les frais de déplacement, la maquilleuse et les agents de sécurité. 
Ben voyons !

 Le Mozart de la finance, le pharaon de l’Élysée sanctionné par l’Union européenne.

 La France est épinglée par la « Commission européenne » pour son « déficit budgétaire excessif ».

Le Pacte de stabilité et de croissance prévoit des sanctions financières
à hauteur de 0,1 % du PIB par an pour les pays qui ne mettront pas en œuvre les corrections imposées.

Dans le cas de la France, cela représente près de 2,5 milliards d’euros par an !

Afin de sourire pour ne pas pleurer, il est bon de rappeler que

le budget de l’égalité entre les femmes et les hommes est de 50,6 millions d’euros

Est-il utile de rappeler que « pharaon de l’Élysée » avait déclaré

cet engagement avec son gouvernement comme

« la Grande Cause du quinquennat. »

Le caméléon de l’Élysée

Alors : Jupiter, Mozart de la finance, roi, empereur, pharaon ou enfant gâté, il ne faut jamais oublier que les Français l’ont élu deux fois.

Comme quoi nul ne pouvait imaginer qu’un jour un président pourrait être réélu après avoir insulté les Français en les traitants, faut-il le rappeler, de

« fainéants » « Gaulois réfractaires » « Illettrés »

allant même jusqu’à les éborgner

parce que manifestant pour une baisse du prix des carburants.

 Mais la voie n’avait-elle pas déjà été ouverte par son prédécesseur :

 François Hollande qui, avec rondeur et douceur, appelait affectivement les citoyens en difficultés financières

 « les sans dents »

Ce même François Hollande aujourd’hui tout sourire Député à l’Assemblée Nationale grâce au soutien des Macronistes  !!

Ces cuisiniers imaginatifs de la politique ne cessent de m’étonner, derrière des affrontements de façades, ils prennent un malin plaisir à se réunir pour faire plonger les Français dans la marmite de leurs tambouilles politiciennes.

Et au regard de leur « humour grinçant et méprisant » je ne suis pas loin de penser qu’il puisse en ce moment déclarer en catimini dans les salons dorés des ministères de l’Assemblée Nationale ou de l’Élysée :

 « T’inquiète, une fois de plus, nous ferons plonger ces navets de français dans notre tambouille »

Au regard des dernières élections législatives, ont-ils vraiment tort ?

Nous vivons une époque formidable

Le Citoyen