Actualités
La France, contributrice de l’Union Européenne victime de ses choix ?
La France, contributrice de l’Union… et victime de ses choix ?
En 2025, la France s’impose comme la deuxième contributrice au budget de l’Union européenne, juste derrière l’Allemagne. Avec une participation de 23,8 milliards d’euros, soit 19 % du budget total, elle continue de jouer un rôle central dans le financement du projet européen. Mais à quel prix ?
💸 Une facture salée pour la sécurité de l’Ukraine
À la suite d’une réunion diplomatique avec Donald Trump concernant les garanties de sécurité pour l’Ukraine, il semble que Kiev s’apprête à acquérir pour 100 milliards de dollars d’armement américain. Une transaction colossale… financée par l’Union européenne.
Ce montage financier implique que la France, en tant que pilier budgétaire de l’UE, versera près de 19 milliards d’euros pour cette opération. Une somme qui, selon certains observateurs, s’apparente à un décaissement à fond perdu. Aucun retour sur investissement, aucune contrepartie directe, si ce n’est un engagement politique et militaire qui pourrait diviser.
📉 Double peine : taxes américaines et affaiblissement industriel
Dans le même temps, les entreprises françaises doivent faire face à une autre réalité : les taxes à l’exportation imposées par l’administration américaine. Ces barrières douanières affaiblissent la compétitivité de nos industries, déjà fragilisées par la crise énergétique, l’inflation et une fiscalité intérieure jugée trop lourde.
Ainsi, pendant que la France finance massivement l’effort de guerre ukrainien via des achats d’armes américaines, elle voit ses propres entreprises pénalisées par Washington. Une situation qui interroge sur la cohérence stratégique de nos alliances.
😤 Une population à bout de souffle
Face à ces décisions, les Français s’interrogent. Depuis plus de quarante ans, ils assistent à une gestion budgétaire marquée par l’endettement — plus de 3000 milliards d’euros aujourd’hui — et des politiques d’austérité qui les poussent à se serrer la ceinture.
Jouer les riches avec de l’argent emprunté, tout en demandant aux citoyens de faire des sacrifices, devient de plus en plus difficile à justifier. La colère monte, et certains y voient les prémices d’un basculement. Les urnes ou la rue ? L’histoire nous rappelle que l’ancien régime, quelques mois avant 1789, croyait lui aussi que le peuple resterait silencieux.
Nous vivons une époque formidable
Le Citoyen