Julien Volot et la démocratie dans les assemblées locales en Haute-Marne:

La démocratie dans les assemblées locales en Haute-Marne de l'autorité mais pour le reste ?
À la lecture d'un article du JHM, on peut s'interroger sur l'attitude des présidents des assemblées locales.

Article du JHM en référence

Des interventions autoritaires des présidents "des barons et des rois" ?

Au conseil régional ou départemental, nombreux sont les exemples d'interventions musclées de la part des présidents des dites assemblées, à l'égard d'intervenants posant des questions gênantes.
Ces Présidents, sont souvent surnommés par la presse locale ou nationale "baron " voir même pour certain au niveau du département de "roi" faisant ainsi référence à l'autorité et au niveau de vie de l'ancien régime. Cette maladie bien peu démocratique, semble maintenant gagner les petites assemblées, ces communautés de communes, vendues aux citoyens comme source d'économies et de baisse d'impôts...comme disait un comique :"des promesses, des promesses, faut que ça cesse".

Julien Volot Maire de Signeville face à la "démocratie locale"

Julien Volot maire de la commune de Signeville proche d'Andelot semble en avoir fait les frais lors du conseil communautaire de la communauté de communes de Meuse sur Rognon qui se tenait le 31 janvier à Manois. Le président Bernard Guy ne souhaitant pas manifestement répondre à la question du jeune élu, a déclaré sèchement de : " je ne vous donne pas la parole vous auriez dû vous exprimer avant la séance..."

Tant d'autorité et pourtant des territoires perdus de la République ?

Comment ne pas s'interroger face à des présidents aussi autoritaires du plus petit échelon au plus haut niveau de l'Etat, qu'ils soient possible d'évoquer: "des territoires perdus de la république".

L'autorité des "seigneurs" à ses limites imposé par le politiquement correct ?

Une fois de plus, le constat du citoyen est sans concession. L'autorité de ces "seigneurs" locaux ou nationaux a ses limites, celles qu'impose: le politiquement correct, les minorités agissantes, la bureaucratie européenne.

Nous vivons une époque formidable

Le Citoyen