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Quand la France de Macron mendie ses turbines aux USA
Un moment de vérité sur la politique du gouvernement et son renoncement face au dépeçage de l’industrie nucléaire Française par la politique américaine.
Il est factuel de constater que lorsqu’un domaine est essentiel à l’économie américaine, son gouvernement se garde bien de faire rentrer le domaine concerné dans les sanctions à l’égard de la Russie.
Mieux encore, on découvre que le business Américano-Russe se poursuit.
Les seuls qui paient les pots cassés sont, de fait, les Français et les Européens.
Une députée explique clairement cette affaire
Voltaire plus que jamais au goût du jour avec cette phrase célèbre :
Mon Dieu, gardez-moi de mes amis. Quant à mes ennemis, je m'en charge !
Au citoyen de juger.
Nous vivons une époque formidable